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Quelques liens sur
Chavouôt :

1er Chiour.
2ème Chiour.
3ème Chiour.

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Pour inscrire le nom 
d'une  personne et  lire les tehilim pour  sa guérison.
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Recette de Pessa' h le M'souki

Pessa'h les Amandines (Guizadas)

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Toutes les fetes jusqu'en 2010
*Chavouôt  שבועת
Fête des Semaines. 
Le 6 et le 7 Sivan en Galout et le 6 en Eréts Israël. (Jour de Yom Tov).
Chaque Juif se doit de compter sept semaines à partir du deuxième soir de Pessa’h.
Après le comptage de l’Omère, nous célébrons la fête du don de la « Torah ». « Chavouôt »
Il est d’usage de se purifier la veille de Chavouôt pour séparer la période de la rigueur et le don de la Torah. 

• Quelques notions :

Chavouôt représente aussi :
« Hag Ha’katsir » ou Fête de la Moisson, indiquant la fin de la récolte de l’orge et le commencement de la récolte du froment.
« Yom Ha’bikourim » ou Jour des Prémices, car ce jour était consacré à offrir au Temple les premiers épis de blé. Nos ancêtres offraient à l’époque deux pains de froments de la nouvelle récolte.
Chavouôt représente davantage de nos jours la promulgation de la Torah au détriment de son sens premier qui représentait la ‘Terre’.

-Durant la fête, il faut réciter le Téhilim 68.

Cette fête est particulièrement propice à un retour à la Torah, car elle représente l’élection du Peuple Juif par D- lui-même.
On a coutume de se couper les cheveux.
Du 1er Sivan au 12 Sivan, on ne récite pas « Ta’hanoun ».
Il est sage d’aller au mikvé la veille de Chavouôt pour recevoir la Torah.
A la fin de Chavouôt, on récite Arvit, en ajoutant dans la Amidah « Atah ‘Honanétanou… »
Beaucoup procède à la lecture de « Birkat Halévanah », si la lune le permet.

Cette fête commémorative du don de la Torah, ce veut de nous redonner une nouvelle attraction vers la Torah et d’élever notre spiritualité vers l’étude.
A Pessa’h, nous avons les Matsot, à ‘Hanoukah, nous avons la « Ménora », à Souccoth, nous séjournons dans des cabanes (Souccah), mais à Chavouôt, nous ne possèdons aucun signe commémoratif.
Le cadeau que D- nous a donné ne peut être représenté ni par un objet, ni par des cérémonies. La Torah est Unique est ne peut être simulé à quoi que ce soit.
En l’honneur de ce don de D-, nous devons étudier toute la nuit et lire les Téhilim en souvenir du Roi David né à Chavouôt et décédé à Chavouôt.

Les synagogues sont remplies de fleurs et depuis le début du mois de Sivan jusqu’au 6, on ne lit pas les Ta’Hanounim. Il est d’usage de consommer des produits faits de lait et de miel. En l’honneur de la Torah, qui cite : « Du lait et du Miel coule sous ta langue », il est d’usage de préparer des mets avec lait et du miel (datte). (Cant. 4§11).
Toute la nuit est consacrée à l’étude du « Tikoun Chavouôt » ; ainsi que la lecture de la Méguila de Ruth.
Durant Chaha’hrit, on récite le Hallel complet. A la sortie du Séfèr Torah, on lit la « Kétouba » qui unit Israël à la Torah. Contrat éternelle entre D- et son Peuple.
 

Si Chavouôt tombe un Vendredi, il faudra procéder au « Eirouv Tachiline »

Concernant la préparation de mets.
Le « Êirouv Tavchiline» Procédure permettant de préparer les repas pour le Shabbat durant les Jours de Fêtes. En commençant la préparation des mets prévus pour Shabbat avant les Jours de Fêtes permet de finir cette préparation pendant les fêtes pour que le repas du Shabbat puisse être prêt.
• Procédure :
Lorsqu’un jour de fête tombe un vendredi, soit un Yom Tov, il ne nous est pas permis de cuisiner, mais le fait que le lendemain soit Chabbat, il existe une règle qui permet de préparer son repas de chabbat.
La veille de Yom Tov, on commence à préparer un morceau de pain ou 60 gr de matsa.
On commence à préparer également un aliment cuit (minimum de 30 gr) qui sera une partie du plat à finir destiné pour le Chabbat. L’ensemble constitue le « Êirouv ». Ainsi, le vendredi, même si ce jour là est un Yom Tov, il sera permis de cuisiner.
On tâchera de cuisiner le plus tôt son repas de Chabbat, et surtout ne pas oublier de consommer l’Êirouv durant Chabbat.
On prend dans les mains le plat cuisiné préparé pour l’Êirouv et on dit :

Baroukh ‘Atah Ado-Nay Elo-hénou Mélekh Haôlame ‘Achèr Kidéchanou Bémitsvotaïv Vétsivanou Âl Mitsvat Êirouv.
Bédeine Êirouva’ Yéhé Charéy Lana’ La’afoyéi Oulevachouley Oule’atemonéy Oultakounéy Oulemich’hate, Oule »adloukéy Charegah Ouleméêbad Quol Tsarekhanah, Miyom Tov LéChabat. 

• L’allumage du 1er et 2ème Jour de Chavouôt 
(Prévoir une bougie de 24 heures pour l’allumage du deuxième jour).
3. Baroukh ‘Atah Ado-Nay Elo-hénou Mélekh Haôlame ‘Achèr Kidéchanou Bémitsvotaïv Vétsivanou Léhadliyk Nèr Chèl Yom. 
4. Baroukh ‘Atah Ado-Nay Elo-hénou Mélekh Haôlame Chéhé'héyanou Vekiyémanou Vehiguiyanou Lazémane Hazéh. 
 

Les Kiddoush de Chavouôt : Le soir de Chabbat. ***

D’après le Zohar, Israël est comparée à une « Rose » entourée d’épines et la coupe de vin doit faire allusion à cette « Rose ». 
Le Zohar préconise de tenir la coupe de vin sur sa paume entourée de nos cinq doigts pareil aux cinq feuilles résistantes qui protègent ses treize pétales.
Ces cinq sépales sont appelés « Délivrances ». Les treize pétales représentent la « Communauté d’Israel » égalent aux « Treize mesures de Tendresse » qui entourent et protègent Israël.
Rassemblé autour de la Table dressée, le Chef de Famille debout récite avec la coupe de vin à la main . 
• Si le soir de Chavouôt est un vendredi soir, on commence ici :

                          Yom Hachichy vayékhoulou Hachamaïm véhaarèts, vékhol-Tséva’am :
                          Vayékhal, ‘Élohym, baYom Hachévyî, méla’khto ‘Achèr Âssah, vayéchbot
                          BaYom Hachévyî, mikol –méla’khto ‘Achèr Âssah, vayébarèkh ‘Élohym
                          Éte Yom Hachévyî, vayékadèch ‘Oto, ky bo Chabat mikol –méla’khto,
                          ‘Achèr Bara’ ‘Élohym Laâssot :
 

« ‘Elé Moâdéi Ado-Nay Mikra’éi Kodesh. ‘Acher Tikré’ou Otam Bémoâdam : 
Vaydabèr Moshé ‘Ete Moâdéi Ado-Nay. ‘El-Bénéi Israël :
BÉNÉDICTION SUR LE VIN :

                        Savry Maranane :
                         Les convives répondent : Lé’Haïm

 Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohéinou Mélèkh Haôlam Boré’ Péry Haguéfene.
 

Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam ‘Achér Ba’har Banou Mikol Âm Véromémanou Mikol Lachone Vékidéchanou Bémitsvotaïv. Vatitène Lanou Ado-Nay Elohénou Bé’ahavah, Chabatot Limnou’Ha Oumoadiyme Léssim’Hah ‘Haguyime Ouzmaniym Lessassone. ‘Ete Yom HaChabat Hazéh, Vé’éte Yom ‘Hag haChavouôt Hazéh. Vé’ète Yom Tov Mikra’ Kodesh Hazéh, Zmane Matane Toraténou, Bé’ahavah Mikra’ Kodèsh, Zékhère Lytsii’ate Mitsraïm. Quy Vanou Ba’harta Véotanou Kidachta Mikol Haâmim, VéChabatot Oumoâdéi Kodechékha Bé’ahavah, Ouvératsone Béssim’Hah, Ouvéssassone Hine’Haltanou.
Baroukh ‘Atah Ado-Nay Mékadech HaChabat VéIsraël Véhazemanime.

Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohéinou Mélèkh Haôlam Chéhé’héyanou Vekiyémanou Vehiguyanou Lazemane Hazéh.

Le chef de famille s’assoit pour boire le vin et en verse dans une autre coupe pour les femmes et passe ensuite son verre aux autres hommes. On est tenu de posséder une coupe contenant un minimum de 86ml de vin.
           On se dirige tous pour le « lavage des mains ».
 

o Le lavage des mains : « Nétilat Yadaïm »
On verse de l’eau du kéli que l’on tient de la main gauche, trois fois sur la main droite et enfin de la main droite, trois fois sur la main gauche.
On éléve ses deux mains à la hauteur des yeux et on récite : 

 Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohéinou Mélèkh Haôlam ‘Achèr kidéchanou
 Bémitsvotaïv Vétsivanou Âl Nétylat Yadaïm :
On s’assurera que les mains soient bien séches.
 

o La Bénédiction sur le pain : « Hamotsi »
On prend une Halla, dans chaque main. On superposera les deux Hallot pour dire la bénédiction « Motsi » il est d’usage de choisir le pain le plus doré pour le placer au dessous de l’autre car c’est celui-ci qui devra être coupé.

                          En soulevant les deux pains l’un au dessus de l’autre :

                         Êinéi Kol ‘éléikha Yessabérou, Vé’atah Notène Lahem ‘éte ‘Akhlam Béîto :
  Potéa’h ‘Ete Yadékha Oumassbyâ lékhol ‘Haï Ratsone :

                          Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohéinou Mélèkh Haôlam Hamotsy’ Lé’hém
                          Mine Ha’arets.

Le chef de famille prend le pain du dessous, en coupe un morceau, le trempe dans le sel et le mange, puis il distribue d’autres morceaux aux convives.
On ne jettera pas les morceaux de pain, mais on les déposera devant chaque convive.

Après le repas, on est tenu de réciter le « Birkat Hamazone ».
 
 

Les Kiddoush de Chavouôt : Le soir de semaine.

D’après le Zohar, Israël est comparée à une « Rose » entourée d’épines et la coupe de vin doit faire allusion à cette « Rose ». 
Le Zohar préconise de tenir la coupe de vin sur sa paume entourée de nos cinq doigts pareil aux cinq feuilles résistantes qui protègent ses treize pétales.
Ces cinq sépales sont appelés « Délivrances ». Les treize pétales représentent la « Communauté d’Israel » égalent aux « Treize mesures de Tendresse » qui entourent et protègent Israël.

Rassemblé autour de la Table dressée, le Chef de Famille debout récite avec la coupe de vin à la main. 

« ‘Elé Moâdéi Ado-Nay Mikra’éi Kodesh. ‘Acher Tikré’ou Otam Bémoâdam : 
Vaydabèr Moshé ‘Ete Moâdéi Ado-Nay. ‘El-Bénéi Israël :
 

BÉNÉDICTION SUR LE VIN :

                        Savry Maranane :
                         Les convives répondent : Lé’Haïm

 Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam Boré’ Péry Haguéfene.
 

Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohéinou Mélèkh Haôlam ‘Achér Ba’Har Banou Mikol Âm veromémanou mikol lachone Vékidéchanou Bémitsvotaïv. Vatitène Lanou Ado-Nay Elo-héinou Bé’ahavah, moâdiyme Léssim’Hah, ‘Haguiyme Ouzmaniym Lessassone ‘Ete Yom ‘Hag HaChavouôt Hazéh.
Ve’ète Yom Tov mikra’ Kodesh Hazéh, zmane Matane Toraténou, Bé’ahavah Mikra’ Kodésh, Zékhère Liytsiy’iate Mitsraïm.
Quy Vanou Ba’harta Véo’tanou Kidachta Mikol Haâmim, Moâdéi Kodchékha Bessim’hah Ouvessassone Hin‘Haltanou. 
Baroukh ‘Atah Ado-Nay Mékadech Israël vehazemaniyme.

Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohéinou Mélèkh Haôlam Chéhé’héyanou Vekiyémanou Vehiguyanou Lazemane Hazéh.
On boit le vin assis.

         On se dirige tous pour le « lavage des mains ».
o Le lavage des mains : « Nétilat Yadaïm »
On verse de l’eau du kéli que l’on tient de la main gauche, trois fois sur la main droite et enfin de la main droite, trois fois sur la main gauche.
On éléve ses deux mains à la hauteur des yeux et on récite : 

 Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam ‘Achèr kidéchanou
 Bémitsvotaïv Vétsivanou al Nétilat Yadaïm :
On s’assurera que nos mains soient bien essuyées, et sans dire un mot, on regagne la table du Chabat et l’on s’assied.

o La Bénédiction sur le pain : « Hamotsi »
On prend une Halla, dans chaque main. On superposera les deux Hallot pour dire la bénédiction « Motsi » il est d’usage de choisir le pain le plus doré pour le placer au dessous de l’autre car c’est celui-ci qui devra être coupé.

                          En soulevant les deux pains l’un au dessus de l’autre :
      Êinéi Kol ‘éléikha Yessabérou, Vé’atah Notène Lahem ‘éte ‘Akhlam Béîto :
Potéa’h ‘Ete Yadékha Oumassbyâ lékhol ‘Haï Ratsone :

                 Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam Hamotsy’ Lé’hém
                  Mine Ha’arets.

Le chef de famille prend le pain du dessous, en coupe un morceau, le trempe dans le sel et le mange, puis il distribue d’autres morceaux aux convives.
On ne jettera pas les morceaux de pain, mais on les déposera devant chaque convive.

Après le repas, on est tenu de réciter le « Birkat Hamazone ».
 

• Pour Chavouôt un Samedi soir.

• Si le soir de Chavouôt est un Samedi soir, on commence ici :
« ‘Elé Moâdéi Ado-Nay Mikra’éi Kodesh. ‘Acher Tikré’ou Otam Bémoâdam : 
Vaydabèr Moshé ‘Ete Moâdéi Ado-Nay. ‘El-Bénéi Israël :

• Bénédiction sur le vin :

                        Savry Maranane :
                         Les convives répondent : Lé’Haïm

 Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam Boré’ Péry Haguéfene.

Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohéinou Mélèkh Haôlam ‘Achér Ba’Har Banou Mikol Âm veromémanou mikol lachone Vékidéchanou Bémitsvotaïv. Vatitène Lanou Ado-Nay Elo-héinou Bé’ahavah, moâdiyme Léssim’Hah, ‘Haguiyme Ouzmaniym Lessassone ‘Ete Yom ‘Hag HaChavouôt Hazéh.
Ve’ète Yom Tov mikra’ Kodesh Hazéh, zmane Matane Toraténou, Bé’ahavah Mikra’ Kodésh, Zékhère Liytsiy’iate Mitsraïm.
Quy Vanou Ba’harta Véo’tanou Kidachta Mikol Haâmim, Moâdéi Kodchékha Bessim’hah Ouvessassone Hin‘Haltanou. 
Baroukh ‘Atah Ado-Nay Mékadech Israël vehazemaniyme.

ALLUMAGE /
On contemple les bougies déjà allumées depuis le Vendredi, (car on pourrait allumer des bougies avec du feu existant, puisque c’est Yom Tov, mais on ne pourra pas les éteindre. On aura pris la précaution d’allumer les bougies de 24 ou 48 heures), et on dit :

Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam Boré’ Mé’oréi Haèsh.

Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam Hamavdiyl 
Bein Kodesh Lé’hol, Ouveyn ‘Or Lé’hochekh Ouveyn Israël 
Laâmim Ouveiyn Yom Hachéviyîy Léchéchèt Yeméy Hamaâsséh. 
Bein Kédoushat Chabat Likdouchat Yom Tov Ivedaletah. Vé-éte Yom Hachévi-i Michéchète Yimé Ama-assé Kidachta Ivedale-tah Vékidacheta été Amékha Israël Bikdouchatakh:
Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohéinou Mélèkh Haôlam Chéhé’héyanou Vekiyémanou Vehiguyanou Lazemane Hazéh.
On boit le vin assis.

           On se dirige tous pour le « lavage des mains ». 
o Le lavage des mains : « Nétilat Yadaïm »
On verse de l’eau du kéli que l’on tient de la main gauche, trois fois sur la main droite et enfin de la main droite, trois fois sur la main gauche.
On éléve ses deux mains à la hauteur des yeux et on récite : 

 Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam ‘Achèr kidéchanou
 Bémitsvotaïv Vétsivanou al Nétilat Yadaïm :
On s’assurera que nos mains soient bien essuyées, et sans dire un mot, on regagne la table du Chabat et l’on s’assied.
 

o La Bénédiction sur le pain : « Hamotsi »
On prend une Halla, dans chaque main. On superposera les deux Hallot pour dire la bénédiction « Motsi » il est d’usage de choisir le pain le plus doré pour le placer au dessous de l’autre car c’est celui-ci qui devra être coupé.

                          En soulevant les deux pains l’un au dessus de l’autre :
     Êinéi Kol ‘éléikha Yessabérou, Vé’atah Notène Lahem ‘éte ‘Akhlam Béîto :
Potéa’h ‘Ete Yadékha Oumassbyâ lékhol ‘Haï Ratsone :

                  Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam Hamotsy’ Lé’hém
                  Mine Ha’arets.

Le chef de famille prend le pain du dessous, en coupe un morceau, le trempe dans le sel et le mange, puis il distribue d’autres morceaux aux convives.
On ne jettera pas les morceaux de pain, mais on les déposera devant chaque convive.

Après le repas, on est tenu de réciter le « Birkat Hamazone ».
 

• Le matin de Chavouôt – Jour de semaine.

• Après le retour de la synagogue le matin d’un jour de semaine :
« ‘Elé Moâdéi Ado-Nay Mikra’éi Kodesh. ‘Acher Tikré’ou Otam Bémoâdam : 
Vaydabèr Moshé ‘Ete Moâdéi Ado-Nay. ‘El-Bénéi Israël :

Chaloch Péâmim BaChanah Yérahéh Quol Zékhourékha ‘Eté Penéiy Ado-Nay Elo-héykha Bamakom ‘Acher Yive’Har Bé’Hag Hamatsot Ouvé’Hag HaChavouôt, Ouvé’Hag HaSouccot, Vélo’ Yérahéh ‘Eté Penéiy Ado-Nay Réikam : ‘Ich Quématenate Yado. Quévirquat   Ado-Nay ‘Elohékha ‘Acher Natane Lakh.

• Bénédiction sur le vin :
                          Savry Maranane :
                         Les convives répondent : Lé’Haïm

 Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam Boré’ Péry Haguéfene.
On boit le vin assis.

           On se dirige tous pour le « lavage des mains ». 
o Le lavage des mains : « Nétilat Yadaïm »
On verse de l’eau du kéli que l’on tient de la main gauche, trois fois sur la main droite et enfin de la main droite, trois fois sur la main gauche.
On éléve ses deux mains à la hauteur des yeux et on récite : 

 Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam ‘Achèr kidéchanou
 Bémitsvotaïv Vétsivanou al Nétilat Yadaïm :
On s’assurera que nos mains soient bien essuyées, et sans dire un mot, on regagne la table du Chabat et l’on s’assied.

o La Bénédiction sur le pain : « Hamotsi »
On prend une Halla, dans chaque main. On superposera les deux Hallot pour dire la bénédiction « Motsi » il est d’usage de choisir le pain le plus doré pour le placer au dessous de l’autre car c’est celui-ci qui devra être coupé.

                        En soulevant les deux pains l’un au dessus de l’autre :

      Êinéi Kol ‘éléikha Yessabérou, Vé’atah Notène Lahem ‘éte ‘Akhlam Béîto :
Potéa’h ‘Ete Yadékha Oumassbyâ lékhol ‘Haï Ratsone :

                  Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam Hamotsy’ Lé’hém
                  Mine Ha’arets.

Le chef de famille prend le pain du dessous, en coupe un morceau, le trempe dans le sel et le mange, puis il distribue d’autres morceaux aux convives.
On ne jettera pas les morceaux de pain, mais on les déposera devant chaque convive.

Après le repas, on est tenu de réciter le « Birkat Hamazone ».
 
 

• Le Chabat matin de Chavouôt.

Après le retour de la synagogue le Chabat matin :
Se récite assis.
Le chef de famille s’assoit, lève la coupe et récite :
Il est bon de commencer par le Téhilim 23.
Mizmor LéDavid Ado-Nay Roîy Lo’ ‘Ei’hsar, Bine’ote Déché’ Yarbytsèny Âl-Mei Ménou’Hote Yenahalèny. Nafchy Yéchovèv Yane’Hèny Vémaêguelei Tsédek Lémaâne Chémo. Gam Ky ‘Elèkh Béguéy’ Tsalmavéte Lo’ ‘Yra’ Râ Ky ‘Atah Îmady Chivtékha Oumicheânétékha Hèmah Yéna’Hamouny : Taârokhe Léfanay Choul’han Néguède Tsoréraï Dichaneta Vachémén Rochy Kossy Révayah. ‘Akh Tov Va’Hésséd Yirédéfouny Kol Yémey ‘Haïya Véchavty Béveyte Ado-Nay 
Lé’orékh Yamim :

Im Tachyv Mi-Chabat raglékha, Âssote ‘Hafatséikha Béyom Kadechy. Vékara’ta LaChabat Ônégue Likdoch Ado-Nay Mékhoubade. Vékhibadeto Mèâssote Dérakhéikha, Mimétso’ ‘Héftsékha Védabér Davar. ‘Az Titeânague Âl Ado-Nay véhirekavtykha Âl Bamo¬teï Harets. Véha’akhaltykha Nakh1ate Yaâkov ‘Avikha Ky Py Ado-Nay dibère :

Véchamérou Vénei Yisraèl ‘Ete HaChabat. Laâssot, ‘Ete HaChabat Lédorotam Béryt Ôlam : Béiny ouveine bénei Israël ôte hi’ léôlam. Ky Chèchéte Yamym Âssah Ado-Nay ‘Ete Hachamaïm Vé’éte Ha’aréts, Ouvayom Hachévyî Chavat Vayinafache:

« ‘Elé Moâdéi Ado-Nay Mikra’éi Kodesh. ‘Acher Tikré’ou Otam Bémoâdam : 
Vaydabèr Moshé ‘Ete Moâdéi Ado-Nay. ‘El-Bénéi Israël :

Chaloch Péâmim BaChanah Yérahéh Quol Zékhourékha ‘Eté Penéiy Ado-Nay Elo-héykha Bamakom ‘Acher Yive’Har Bé’Hag Hamatsot Ouvé’Hag HaChavouôt, Ouvé’Hag HaSouccot, Vélo’ Yérahéh ‘Eté Penéiy Ado-Nay Réikam : ‘Ich Quématenate Yado. Quévirquat   Ado-Nay ‘Elohékha ‘Acher Natane Lakh.

Al Quéne Bérakhe Ado-Nay ‘Eté Yom HaChabat Vaïkadechéhou.
 

• Bénédiction sur le vin :

                          Savry Maranane :
                         Les convives répondent : Lé’Haïm

 Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam Boré’ Péry Haguéfene.
On boit le vin assis.

           On se dirige tous pour le « lavage des mains ». 
o Le lavage des mains : « Nétilat Yadaïm »
On verse de l’eau du kéli que l’on tient de la main gauche, trois fois sur la main droite et enfin de la main droite, trois fois sur la main gauche.
On éléve ses deux mains à la hauteur des yeux et on récite : 

 Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam ‘Achèr kidéchanou
 Bémitsvotaïv Vétsivanou al Nétilat Yadaïm :
On s’assurera que nos mains soient bien essuyées, et sans dire un mot, on regagne la table du Chabat et l’on s’assied.
o La Bénédiction sur le pain : « Hamotsi »
On prend une Halla, dans chaque main. On superposera les deux Hallot pour dire la bénédiction « Motsi » il est d’usage de choisir le pain le plus doré pour le placer au dessous de l’autre car c’est celui-ci qui devra être coupé.

                          En soulevant les deux pains l’un au dessus de l’autre :

     Êinéi Kol ‘éléikha Yessabérou, Vé’atah Notène Lahem ‘éte ‘Akhlam Béîto :
Potéa’h ‘Ete Yadékha Oumassbyâ lékhol ‘Haï Ratsone :

                  Baroukh ‘Atah Ado-Nay ’Elohénou Mélèkh Haôlam Hamotsy’ Lé’hém
                  Mine Ha’arets.

Le chef de famille prend le pain du dessous, en coupe un morceau, le trempe dans le sel et le mange, puis il distribue d’autres morceaux aux convives.
On ne jettera pas les morceaux de pain, mais on les déposera devant chaque convive.

Après le repas, on est tenu de réciter le « Birkat Hamazone ».

• La Havdalah de Chavouôt.

A la sortie de Chavouôt, après Arbit, on récite la « Havdalah » sur le vin seulement et on finit par « Hamavdil », soit deux brahkot seulement.
Ne pas oublier de réciter les "Brakhot finales sur le vin"

HAG SAMEA'H

Le deuxième jour, on récite, pendant l’office du matin, la prière de Yizkor en souvenir des disparus : on distribuera de l’argent pour la Tsedaka en leur honneur.

* Tiré du Livre  " HACHEM E'HAD" -  Bases essentielles du Judaïsme-  Info : priorite1@yahoo.com
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